Eragon n'a que quinze ans, mais le destin de l'Empire eEragon n'a que quinze ans, mais le destin de l'Empire est désormais entre ses mains !C'est en poursuivant une biche dans la montagne que le jeune Eragon, quinze ans, tombe sur une magnifique pierre bleue, qui s'avère être... un oeuf de dragon ! Fasciné, il l'emporte à Carvahall, le village où il vit pauvrement avec son oncle et son cousin. Il n'imagine pas alors qu'une dragonne, porteuse d'un héritage ancestral, va en éclore...Très vite, la vie d'Eragon est bouleversée. Contraint de quitter les siens, le jeune homme s'engage dans une quête qui le mènera aux confins de l'empire de l'Alagaësia. Armé de son épée et guidé par les conseils de Brom, le vieux conteur, Eragon va devoir affronter avec sa dragonne les terribles ennemis envoyés par le roi Galbatorix, dont la malveillance démoniaque ne connaît aucune limite.
Eragon est une série que j’ai beaucoup aimé lire, car j’avais trouvé un univers complet, intéressant à suivre. On entre facilement dans l’histoire et il est ensuite difficile de lui dire au revoir. Mon avis sur le dernier tome est plus complet, mais rappelons un peu ce qui se passe avant.
Dans le premier tome, Eragon découvre un œuf qu’il va garder jusqu’à son éclosion. Quelle surprise de voir un petit dragon en sortir ! De suite, un lien se forme entre eux, il devient dragonnier et entre dans une guerre à seulement 15 ans contre le terrible Galbatorix. Franchement, le premier tome se dévore tout seul. Alors la version cinématographique n’a rien à voir et c’est dommage, car on aurait pu voir une très bonne série adaptée en plusieurs films, surtout quand on voit la tournure que prend les événements, qui n’ont plus rien à voir avec le livre.
Dans le second tome, Eragon est sur tous les fronts. Il aide son cousin sur le champ de bataille, assiste aux élections des nains, va s’entrainer chez les elfes,… bref, c’est vivant, il y a parfois des longueurs, mais il y a aussi des révélations à n’en plus finir.
Le troisième tome prend tout son sens, surtout avec son titre. Malgré la noirceur qui sévit de plus en plus, il y a des moments drôles, notamment avec Saphira qui apprécie un peu trop l’hydromel. Eragon change de plus en plus, aussi bien mentalement que physiquement à cause de son entraînement avec les elfes. On sent que le dénouement est proche, et d’un autre côté, il y a encore beaucoup de choses à voir.
Enfin, voici l’avis sur le dernier tome.
Bon, on ne peut pas mentir sur le sentiment de tristesse à penser que c’est le dernier tome d’une série riche en aventure (ça me fait ça pour chaque fin de série).
Du temps est passé depuis la lecture des trois premiers tomes, du coup, c’est très utile d’avoir un récapitulatif au début du roman pour se remettre très vite dans l’ambiance. Gros volume, on se plonge pourtant très vite dans l’histoire, du coup, on peut le lire facilement en une semaine (ou faire mieux si on est un gros lecteur, je pense à certaines personnes pour qui deux ou trois jours suffisent largement).
L’histoire est bien sûr connue de tous : Eragon met tout en œuvre pour vaincre Galbatorix avec l’aide des Elfes, des Vardens, des Nains, des Urgals, chats-garous et autres alliés qu’on découvre à travers ce tome. Beaucoup d’actions, chaque personnage amène son histoire, son expérience. Certes, il y a parfois des longueurs, j’ai même eu parfois envie de laisser Eragon pour savoir comment s’en sortait Nasuada de son côté. Mais le tome est complet, l’aboutissement de la quête prévisible… mais pas le comportement d’Eragon (pas de spoil, il faudra le lire pour le savoir).
J’ai aimé retrouver Saphira et son humour mordant et j’ai été impressionnée par le courage de beaucoup de personnages. Bon, une fin est toujours triste quand on sait qu’il n’y en aura pas d’autres, mais pour moi, c’est très bien que cela se termine ainsi, je n’aimerai pas voir une suite ratée. Par contre, j’espère que l’auteur fera d’autres séries, vu son potentiel.
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