Brotherband 2 : L'Invasion - John Flanagan

"Hal et ses amis ont réussi l’impossible : ils ont vaincu les guerriers les plus forts et les plus talentueux de toute la Skandie. Contre toute attente, ils ont remporté le tournoi des Brotherbands ! Pour les récompenser, Erak, l’Oberjarl, leur confie la garde de l’Andomal, le trésor le plus précieux des Skandiens. Mais la fête est de courte durée. Durant la nuit, le pirate Zavac parvient à s’emparer du trésor et à prendre la fuite. S’ils veulent laver leur honneur, Hal et ses amis n’ont pas le choix. Ils doivent absolument retrouver l’Andomal. Il leur faudra pour cela traverser une mer déchaînée, survivre à un hiver particulièrement rigoureux et combattre une bande de pirates sans foi ni loi, prêts à tout pour garder leur butin. Malgré leur entraînement et l’aide de Thorn, l’un des plus grands guerriers skandiens, Hal et l’équipage du Héron auront bien du mal à rentrer chez eux avec l’Andomal… et même en vie tout court ! ".

Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu John Flanagan, depuis la fin de son autre série l’Apprenti d’Araluen. Et qu’apprends-je ? La suite de Brotherband ne sortira pas en France, Hachette a arrêté la série. Je suis tellement déçue ! C’est la deuxième fois que la maison d’éditions arrête une série que j’aime, la première étant Vampirates, une série génialissime qu’il va falloir que je continue en anglais. Le drame…

Bref, passons à l’histoire. Hal part avec ses compagnons à bord de son navire le Héron pour retrouver les pirates qui ont volé l’Andomal, la pierre protectrice des Skandiens. Persuadé d’être rejeté par l’Oberjarl, notre jeune héros va tout entreprendre afin de mener à bien sa mission et découvrira des alliés insoupçonnés, dont une jeune fille farouche qui pourrait bien le surprendre, lui et son équipage.

C’est une série jeunesse qui se lit très bien, qui propose de l’aventure, de la stratégie, de l’amitié. Elle a tous les ingrédients pour aider le lecteur à grandir, à s’épanouir et vivre des aventures imaginaires, à faire des pauses avec la réalité. C’est tellement dommage de l’arrêter. Mais bon, qui peut dire quoi que ce soit à Hachette et avoir un impact sur leur décision ? Enfin, si l’éditeur passe un jour sur cet avis, il saura qu’il y a une fan qui souhaite désespérément la suite, en attendant qu’une autre maison d’édition la reprenne.