On peut dire que Christie Golden a une écriture assez différente de celle d’Oliver Bowden. Déjà pour sa part, elle alterne entre monde présent et passé, mettant plus en valeur l’Animus. Aussi, je préviens déjà les fans du jeu vidéo avant tout : comme pour Assassin’s Creed le film, le présent est principal, les retours dans le passé sont moins nombreux et aident à comprendre l’intrigue, mais le final reste dans le présent.
L’histoire se passe à Londres au siège d’une entreprise appartenant aux templiers. Simon est un historien qui s’intéresse à Jeanne D’Arc, ce qu’elle représente et surtout, lorsqu’on lui confie son épée, il essaie de résoudre une énigme : comment pouvait-elle changer le cours de l’Histoire avec cette arme qu’elle n’a pas utilisé ? Quel est son secret ?
Ce roman est loin d’un Assassin’s Creed tout en lui donnant un souffle nouveau. En effet, il y a des assassins qui sont décrits et que l’on voit quand Simon entre dans l’Animus, cependant, on se concentre essentiellement sur la Pucelle d’Orléans, donnant une forte importance à l’Histoire, ce qui aurait pu être fait, le vrai déroulement des événements.
Quelque chose de néanmoins intéressant est l’intrigue que l’on suit dans le passé, certes, mais aussi les secrets et les complots fait dans le présent derrière le dos de Simon. Parce qu’au final, qu’est-il ? Un templier important pour sa confrérie ou uniquement un instrument que l’on peut utiliser jusqu’à obtenir ce que l’on souhaite ?
J’ai adoré la série initiale par Oliver Bowden, mais même si c’est différent avec Christie Golden, je trouve qu’elle ne démérite pas et qu’elle fait ses preuves avec cette nouvelle série. A lire pour se détendre.
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