« La colocataire est la femme idéale. » A. N.
Charles Perrault n’a rien compris à Barbe-Bleue : ce n’est pas un personnage complètement abject, il a le droit de protéger son jardin secret. C’est la morale du 21e roman d’Amélie Nothomb. Le Figaro.
Barbe bleue, ce conte de Perrault revisité par une impertinente adepte des rapprochements saugrenus et des dialogues coupants…
J’ai toujours quelque chose à dire sur un roman que je lis, et là, je dois avouer que c’est le trou noir. C’est un roman assez court, qui se lit vite. Il y a des questionnements sur la vie, de la réflexion sur tout : l’amour, les couleurs, le champagne… mais après ? Je dois avouer que cette lecture m’a laissé perplexe. Que dois-je dire de plus ? Ai-je aimé le roman ?
C’est un sentiment bizarre qui m’habite. Je ne sais pas quoi penser, quoi dire. C’est comme si le roman m’avait transporté ailleurs, sans que je sache comment.
Il y a clairement l’introduction de l’auteure dans le personnage de Saturnine, elle y implante sa voix, ses pensées. C’est d’ailleurs pourquoi, je m’interroge sur la nature de ce roman : est-ce une fiction, une biographie ? Une biographie fictive ? Peu importe.
Les mots ne viennent pas. J’ai bien aimé ce livre, c’était un bon moment de lecture, sans extravagance. On verra pour la prochaine lecture.
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