Londres, ville des magiciens et des sorciers, au XXIe siècle. Le jeune Nathaniel connaît une ascension fulgurante au sein du gouvernement des magiciens. Sa mission la plus urgente consiste à mettre un terme aux activités de la mystérieuse Résistance, menée par Kitty et ses amis qui ne cessent de lui échapper. Alors que la pression monte, Londres se voit soudain menacée par une série d’attentats terrifiants. Est-ce la Résistance ou un danger encore plus grand ? Chargé de cette enquête périlleuse, Nathaniel est contraint de s’envoler pour Prague et d’invoquer une nouvelle fois l’énigmatique et malicieux djinn Bartiméus…
J’ai lu le premier tome de La Trilogie de Bartiméus il y a un peu plus de trois ans et je me souviens avoir eu du mal à le terminer car l’histoire est longue à se mettre en place et c’est difficile d’accrocher quand on doit suivre les « aventures » d’une tête à claques.
Pas vraiment de changement pour ce tome qui est encore plus long. L’histoire devient intéressante qu’à la moitié du livre, et là encore, certaines choses sont prévisibles, à croire que le lecteur est pris pour un idiot.
Pour le coup, on peut dire que c’est réellement de la littérature de jeunesse qui vise un jeune public mais qui ne semble pas s’élargir. Des proches ont aimé cette trilogie et c’est tant mieux pour eux. Pour ma part, je préfère tenter d’autres séries.
Déçue et un peu énervée d’avoir mis du temps à le lire, je peux néanmoins reconnaître que Bartiméus est un personnage drôle et attachant, au contraire de son maître. Mais cela ne suffit pas, malheureusement, à me donner envie de finir cette trilogie, même si, d’après ce que j’ai compris, le dernier tome est le mieux. Il aurait fallu avoir un déclic avant et il ne s’est pas produit.
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