À l'insu des habitants de la Terre, des hommes et des femmes travaillant pour l'Agence Nationale de Gestion de l'Étrange – mieux connue sous le nom de l'A.N.G.E. – veillent sur l'humanité. Peu importe le pays où ils sont affectés, ces agents secrets protègent les hommes des ténébreuses machinations des serviteurs du Mal. La destruction de la base montréalaise de l'A.N.G.E. oblige ses agents à se réfugier provisoirement dans un abri souterrain du village canadien d'Alert Bay. Les membres de l'équipe sont ensuite dispersés dans d'autres divisions à travers le pays, malgré les efforts de leur chef Cédric pour les rassembler. Toutefois, Océane et Cindy sont envoyées ensemble à Toronto où le Faux Prophète, un redoutable manipulateur, a été aperçu. En espionnant Thierry Morin, l'étrange enquêteur aux pouvoirs surnaturels, elles découvrent une vaste conspiration vieille de plusieurs milliers d'années. En plus d'être aux prises avec l'Antéchrist, l'A.N.G.E. devra alors faire face à un ennemi beaucoup plus sournois, oeuvrant depuis longtemps au sein de tous les gouvernements du monde. Mais comment avertir les humains de l'existence d'une menace qu'ils refusent d'admettre ?
Etant fan des Chevaliers d’Emeraude et de la suite Les Héritiers d’Enkidiev, lire la série A.N.G.E. était pour moi une évidence. Le premier tome fut donc très vite lu, puis le temps passa, il y eut d’autres lectures jusqu’à ce que le tome deux soit sur ma liste. Il est terminé depuis.
J’avais bien aimé l’intrigue, les personnages, le lien entre une forme de vie extra-terrestre et la religion. Pourtant, en fermant le livre, je me suis demandé si j’allai continuer cette série. C’est distrayant, mais pas la révélation du siècle, un peu comme la série Percy Jackson.
Je n’arrive tout d’abord pas à comprendre pourquoi l’auteure s’amuse à mettre des lézards partout (le panthéon pour son autre série et ici une forme extra-terrestre qui se mélange aux hommes). Est-ce dû à une théorie scientifique parue il y a quelques temps ou juste un lien que veut faire l’auteure pour qu’on reconnaisse son style ? Si on oublie ce détail, seule l’écriture nous permet de l’identifier car les descriptions ont un côté simpliste mais bien exécuté, on sait tout de suite que le public visé est assez jeune. Mais justement, cela passe pour les séries citées plus haut, celle-ci semble plus adulte avec des intrigues plus complexes, mais l’écriture ne suit pas.
Attention, je n’ai pas détesté ce tome 2, j’en attendais par contre beaucoup et du coup, je suis un peu déçue. Maintenant, j’avoue sans retenue que j’aimerais pouvoir écrire trois séries en même temps comme elle le fait, car chaque série possède son essence unique (ou presque). Point positif en revanche : il n’y a pas trop de personnages, du coup, on suit leurs aventures sans se demander où on les avait vus auparavant.
C’est un automne assez dur qui arrive niveau lecture, alors j’espère prendre du plaisir quand je lirai la suite plus tard, en laissant de côté cette impression déplaisante que j’ai eu en fermant le livre.
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