" Le même souffle éperdu et tout-puissant remplit Eschyle et Aristophane. Ce sont les deux inspirés du masque antique. " Victor Hugo. " Ce qui le rend admirable dans ses moments de haute inspiration, c'est une grande simplicité, l'absence de toute enflure et, dans la familiarité et l'émotion, une retenue qui confère à ses propos une allure mâle. " Marcel Aymé.
C’est le deuxième ouvrage que j’abandonne depuis que nous sommes en 2014, autant dire que c’est un record. Mais voilà, quand on n’accroche pas et que la PAL est énorme, autant garder le temps de lecture pour autre chose. J’aurais quand même lu quatre pièces sur six, ce qui n’est pas rien. Quand je pense qu’une ancienne camarade de fac se marrait en lisant ces pièces… Certes, Les Grenouilles a de quoi rire, Lysistrata aussi, mais là n’est pas le problème.
Pourquoi n’ai-je pas pu finir ce recueil ? Si j’ai pu lire quatre pièces, j’aurais pu faire l’effort de lire les deux dernières, mais non, cela devenait presque une corvée à la fin. Pourtant, lire du classique ne me dérange absolument pas, mais ce n’est pas passé cette fois-ci.
Certaines pièces se ressemblent beaucoup, un peu trop, on a l’impression de relire la même pièce malgré des variantes chez les personnages ou dans l’histoire.
Au départ, Aristophane faisait partie de mon challenge 2014, j’ai donc longuement réfléchi à mon choix de continuer la lecture ou non et sans le défi, je n’aurais lu que deux pièces. Je vais donc l’inclure comme lu, ayant atteint les 2/3 du recueil. Niveau classique, il me reste une pièce de Molière (en cours de lecture) et deux écrits d’Hugo. Normalement, ça devrait mieux se passer avec eux, enfin, je l’espère. J’aime pourtant le théâtre antique, mais il faut croire que la comédie me plait davantage quand elle est écrite au XVIIe siècle.
Ce sont des choses qui arrivent. Nous verrons pour le prochain avis.
Ajouter un commentaire