Aux temps reculés de ce récit, la Terre est peuplée d'innombrables créatures : les Hobbits, apparentés à l'Homme, les Elfes et les Nains vivent en paix dans la Comté. Une paix menacée depuis que l'Anneau de Puissance, forgé par Sauron de Mordor, a été dérobé. Or cet anneau est doté d'un pouvoir maléfique qui confère à son détenteur une autorité sans limite et fait de lui le Maître du monde. Sauron s'est donc juré de le reconquérir...
J’avoue, j’ai dû lire ce roman en deux fois, n’étant pas familière avec l’écriture de Tolkien. Surtout pour ce premier tome qui est très, très, très descriptif. Vous voyez Balzac ? Il n’est rien à côté de lui… ou presque.
Je connaissais déjà l’histoire car j’ai vu la trilogie réalisé par Peter Jackson et j’ai adoré la voir et la revoir, en version longue notamment. Pourtant, malgré les minimum 3h par film, il y a beaucoup de choses qui manquent, notamment certaines rencontres que font les Hobbits avant de rencontrer Grand Pas à l’auberge de Bree.
Les films ont aussi pas mal changé le rôle de certains personnages, notamment celui d’Arwen, par exemple, mais passons les différences pour se concentrer sur le roman.
Vous l’aurez compris, pour ceux qui aiment l’action à toutes les pages, ici, on est loin de ça. C’est descriptif au possible, il y a un langage très épique également, beaucoup de ressemblance avec les écrits antiques au niveau des combats, des rencontres, quand les dialogues ressemblent aux écrits médiévaux. C’est pourquoi, Le Seigneurs des Anneaux est une trilogie qui peut refroidir certains lecteurs, quand d’autres la dévore, même à 9 ans !
En me rendant compte de cela, j’ai réussi à rentrer dans l’histoire, et surtout parce que j’avais dépassé la première partie du tome 1, la plus longue à mon sens.
Le réalisateur néo-zélandais a réussi à donner l’âme à cette trilogie visuellement, même si des choses changent. Je suis heureuse d’avoir enfin réussi à finir ce premier tome, même s’il me reste à lire les deux autres. On va y arriver !
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