Chroniques des Vampires 10 : Vittorio le Vampire
Vittorio est un jeune noble qui partage son temps entre la Florence des Médicis et les terres de son père, dont le château domine la Toscane. Une existence dorée qui lui permet de bénéficier de tous les attraits de la Renaissance italienne, jusqu'au jour où sa famille est massacrée par une confrérie démoniaque. Vittorio lui-même ne devra sa survie qu'à l'intervention d'Ursula, une vampire d'une stupéfiante beauté.
Dès lors, il n'aura de cesse de venger les siens. Parti à la recherche des démons pour les exterminer, il rencontre sur son chemin la guerre, les intrigues de cour et toutes sortes de mystères aussi bien sacrés que profanes.
Mais attention : celui qui nous raconte cette étonnante histoire est aujourd'hui... un vampire ! Que s'est-il donc passé ?
Comment l'amateur d'art qui dialoguait avec les anges, l'adolescent assoiffé de vengeance a-t-il succombé à la séduction de la nuit ?
De tous les vampires, Vittorio est celui qui passait inaperçu, celui que je ne voyais pas dans les romans et pour preuve, il n’a pas vraiment de lien avec Lestat ou Louis. Du coup, est-ce que son histoire est intéressante ? Je vais être honnête.
Vittorio est sans aucun doute le vampire avec qui j’ai eu le plus de mal. Déjà, parce que je ne sais pas pourquoi il a son histoire à lui. Ensuite, bien qu’il vienne d’une époque et d’un pays que j’aime, je ne suis pas friande de son ascension, de sa tragédie.
J'ai lu le livre pour pouvoir finir les chroniques, sachant que j’ai lu en anticiper Prince Lestat, et je suis contente de pouvoir passer à autre chose. J'adore Anne Rice et je ne changerai pas d’avis sur cette auteure, mais je n’ai pas passé du bon temps en lisant ce livre, je trouve qu’elle fait mieux avec d’autres personnages.
C'est tout pour cette saga. Passons à autre chose !
Ajouter un commentaire