Femmes qui Courent avec les Loups - Clarissa Pinkola Estes

1925611 Chaque femme porte en elle une force naturelle, instinctive, riche de dons créateurs et d'un savoir immémorial. Mais la société et la culture ont trop souvent muselé cette « Femme sauvage », afin de la faire entrer dans le moule réducteur des rôles assignés. Psychanalyste et conteuse, fascinée par les mythes et les légendes, auteur également du Jardinier de l'éden, Clarissa Pinkola Estés nous propose de retrouver cette part enfouie, pleine de vitalité et de générosité, vibrante, donneuse de vie. A travers des « fouilles psycho-archéologiques » des ruines de l'inconscient féminin, en faisant appel aux traditions et aux représentations les plus diverses, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la petite marchande d'allumettes, elle ouvre la route et démontre qu'il ne tient qu'à chacune de retrouver en elle la Femme sauvage.
Best-seller aux Etats-Unis, ce livre exceptionnel est destiné à faire date dans l'évolution contemporaine de l'identité féminine.

 

C’est un livre qui traverse les générations, ou du moins, qui a ce projet à terme. La première publication française a eu lieu en 1992 est reste néanmoins une des meilleures ventes en développement personnel, section féminin sacré. Effectivement, c’est un livre principalement lu par les femmes, bien que les hommes soient les bienvenues s’ils le souhaitent.

L’autrice a fait pas mal de recherches et nous montre un autre point de vue de certains contes, certaines légendes qui se transmettent oralement ou à l’écrit, en appuyant sur le rôle de la femme, son évolution, sa représentation. Parfois, j’ai eu l’impression qu’elle se répétait, certains chapitres auraient pu être plus courts, je pense, à moins que son but fût d’ancrer certaines idées qu’elle pensait importantes.

C’est clairement le genre de livre à lire en prenant son temps, la lecture ne doit pas être brusquée pour appréhender au mieux le propos et y réfléchir. Il peut donc être lu sur plusieurs semaines, mois, sans qu’il y ait besoin de ressentir de la culpabilité. Pour ma part, j’aurais mis une semaine, ce qui peut paraître très court finalement au vu du propos. C’était mon choix, j’avais envie de le lire d’un coup, mais rien ne m’empêchera de la reprendre plus tard si l’envie me dit.

Comme pour les Quatre Accords Toltèques ou Ame de Sorcière, c’est un livre à relire quand vous sentez qu’il y a besoin, cela peut constituer une base dans sa bibliothèque d’épanouissement personnel.

Une très belle découverte et j’invite toutes les femmes de ma connaissance à le lire pour se faire sa propre opinion.

 

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