Les Soeurs de la Lune 10 : Courting Darkness - Yasmine Galenorn

Courting darkness Nous sommes les soeurs D’Artigo : mi-humaines, mi-fées, ex-agents de la CIA d’Outremonde. Menolly est une vampire, Delilah un chat-garou… Et moi ? Je suis Camille, prêtresse de la Mère Lune, mariée à trois hommes merveilleux. Mais dire que mon dernier beau-père en date n’apprécie pas que j’aie intégré sa famille est un euphémisme… Le cruel dragon blanc m’a capturée et me retient prisonnière dans sa forteresse glacée des royaumes du Nord, bien déterminé à briser non seulement mon corps, mais aussi mon esprit…

 

(Avant de poursuivre la lecture, sachez qu’il y a des risques de spoil dans ce que je m’apprête à écrire.)

J’ai mis le temps avant de lire ce tome de la série Sœurs de la Lune car le sujet abordé me faisait un peu peur et quelque part, le lire en anglais n’est pas une si mauvaise chose, car ça semble atténuer les souffrances de Camille, ou du moins, la perception, le ressenti du lecteur son atténués, puisque la lecture ne se fait pas dans la langue maternelle.

Comme on s’en doute, son beau-père Hyto (soit le père de Flam) est un sadique de première et son traitement pour sa belle-fille est à souhaiter pour personne. Une partie de l’histoire raconte donc la violence que subit la prêtresse, une autre démontre le but de tuer ce dragon, qui a déjà tenté de tuer sa femme dans un tome précédent.

Toujours aussi captivant, Camille se montre forte face à son agresseur mais aussi face à sa famille même quand son père lui rend visite pour lui apporter une lettre de sa tante alors qu’il la bannit quelques temps auparavant.

On en apprend encore sur Flam, sur ses frères et sœurs. Indirectement, on en apprend aussi sur Shade, nouvel ami de Delilah. Le dragon est au cœur de ce roman, la volonté et le pouvoir de Camille augmentent toujours. Bien qu’il y ait quelques dialogues avec Menolly, celle-ci n’est pas très présente, ce qui est dommage, car il manque son franc-parlé qui apporte du punch à l’histoire.

Au final, la lecture s’est bien passée et le dernier chapitre redonne le sourire. Camille se livre entièrement sur ses sentiments, son besoin de posséder une famille. Certes, Trillian et Morio n’ont pas eu beaucoup d’importance dans ce tome, mais ils se rattraperont peut-être dans le tome 13. A suivre !

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