Assassin's Creed : Le Roman du Film - Christie Golden

Nous agissons dans l'ombre pour éclairer le monde.

Nous sommes les Assassins.

Soumis à une technologie révolutionnaire qui libère ses souvenirs génétiques, Callum Lynch revit les aventures de son ancêtre Aguilar dans l'Espagne du XVe siècle. Callum découvre alors qu'il est le descendant d'une mystérieuse société secrète, la Confrérie des Assassins. Grâce aux connaissances et aux capacités extraordinaires transmises par son aïeul, l'Assassin affrontera le tout-puissant Ordre des Templiers de sa propre époque.

Après avoir vu le film, je suis très heureuse de pouvoir donner mon avis sur ce roman que j’ai trouvé pour le coup très fidèle. En effet, pour une fois, c’est le roman tiré du film, les anciens livres de la filière étant écrits à partir du jeu vidéo.

Comme je le disais, l’histoire est donc la même, le livre est du coup vite lu. Alors quel est l’intérêt de le lire si on connait déjà l’histoire ? Eh bien sachez que le livre a un bonus non négligeable qui s’appelle la description des personnages. Je m’explique. On suit visuellement les actions de nos assassins et des templiers, ici, nous avons en plus leurs pensées, leurs émotions. Sans oublier que vous en apprenez plus sur les personnages secondaires qui ont une importance pour mieux comprendre l’histoire, il y a d’ailleurs des régressions de certains d’entre eux pour mieux les connaître à la fin du roman.

Néanmoins, la décision finale de Sofia reste un mystère à élucider, car au vu de ses réflexions, de la manière dont elle est traitée et la décision de son père avant d’aller se présenter au conseil des Templiers, j’aurais pensé qu’elle ne serait pas allée dans leur camp. Cela reste assez louche et s’il y a une suite au film, je pense que nous aurons une réponse.

En attendant, concernant ce roman, je tiens à dire qu’il se lit rapidement et qu’il est très bien pour se remémorer l’histoire, par contre, pour les fans des premiers heures du jeu vidéo, je pense qu’il y a des choses à dire, car l’histoire se concentre sur le contemporain, les régressions dans le passé sont peu nombreuses à mon goût.