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Assassin's Creed 5 : Forsaken - Oliver Bowden

9782811208653« Je suis un maître des lames. Jamais je ne prends le moindre plaisir à tuer. Je suis simplement doué pour ça. »

 
1735, Londres. Haytham Kenway a appris à manier l’épée depuis qu’il est capable d’en tenir une. Alors, quand des hommes armés attaquent la demeure familiale, assassinent son père et enlèvent sa soeur, Haytham défend son foyer de la seule manière possible : il tue.
Après ce drame, un mystérieux tuteur le prend sous son aile et l’entraîne pour faire de lui un assassin redoutable.
Consumé par sa soif de vengeance, Haytham se lance dans une véritable vendetta. Il ne se fie à personne et remet en question tout ce qu’il a toujours connu.
 

Je suis contente de l’avoir terminé, parce que je suis surprise par ce tome. En effet, tout au long de ma lecture, je me suis demandée où voulait en venir l’auteur, le pourquoi de ce tome, le lien avec les personnages précédents, sans compter que je me suis aperçue qu’Ezio me manquait. La fascination première pour cette série est l’histoire des Assassins, leur parcours, leur crédo, leurs inventions et leur entraînement. Quand on change trop quelque chose, c’est risqué.

Pour commencer, c’est sous forme de journal que l’histoire prend forme. Nous suivons Haytham, un jeune anglais de bonne famille qui écrit depuis l’enfance. Il y a des sauts dans le temps de plusieurs années afin de le suivre tout au long de sa vie, mais du coup, où est l’intrigue ? Sauver sa sœur kidnappée le jour de l’assassinat de son père ? Décoder un livre qui livre les secrets d’une vie d’êtres supérieurs ? Pour faire quoi ? Et le personnage, est-il si aveugle que ça ?

J’avoue ne pas avoir compris l’intérêt de ce tome où beaucoup de choses sont prévisibles, de plus, pour la première fois, nous suivons les pas d’un templier et non d’un assassin. Certes, son père l’était, mais c’est son histoire à lui qui nous intéresse du coup (ce sera le cas dans le tome suivant : Black Flag).

Je suis donc déçue par cette histoire car elle ne suit pas la ligne directrice. On peut tout de même saluer l’ingéniosité de voir dans l’autre camp, mais c’est tout. Après, ça reste une histoire qui se laisse lire, mais ça ne va pas plu loin.

Ayant reçu Unity, je vais mettre de côté le sixième tome pour lire ce qui se passe en France. Pour le moment, le peu que j’ai lu est pas mal du tout. Sans doute qu’un point de vue féminin y est pour quelque chose.

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